Jean-Michel Aulas sort de son silence concernant la Super League, initié par douze grands clubs européens. Une lucrative compétition fermée qui pourrait faire concurrence à la Ligue des champions.
Selon le patron de l’OL, ce projet "n’obtient pas l’adhésion populaire, car elle met en avant les vertus de l’argent contre l’esprit de fair-play, alors que nous devons être plus solidaires.(...) Quand les GAFAM sont de plus en plus forts, où tous nos supporters sont privés de stade et de lien social, nous devons construire des ponts, pas des murs. Construire ensemble avec Nasser (Al-Khelaïfi) l’avenir d’un football où la méritocratie sportive et l’émotion ne sont pas oubliées "