Datant du week-end du 15 avril, l'affaire des piqûres en boite de nuit refait surface après l'apparition de premiers éléments.
Les analyses toxicologiques réalisées sur les 13 personnes ayant déposé plainte avaient pour unique but de trouver toute trace de substance illicite.
Le GHB était une hypothèse émise au départ par le personnel médical de Grenoble, chose qu'il réfute aujourd'hui après la publication des premiers résultats. « Trois résultats sont négatifs », a annoncé le parquet de Grenoble cette semaine.
Même si d'autres analyses sont en attente de résultats, le CHU de Grenoble annonce qu'ils sont d'ores et déjà négatifs. Pour le moment, aucun suspect n'a été interpellé et l'enquête se poursuit, alors que d'autres villes en France ont été frappées par le même phénomène.