Quelques militants ont manifesté ce jeudi devant le tribunal correctionnel de Grenoble. Alors que trois prévenus devaient être jugés dans l'après midi, deux petits groupes sont descendus pour exprimer leur soutien.
Alors que les membres de l'Union Nationale Inter-universitaire (UNI) soupçonnent les antifascistes d'avoir frappé plusieurs de ses militants, ces derniers sont venus soutenir les accusés.
Les faits se sont passé dans la nuit du 19 au 20 avril. Les prévenus risquaient trois ans de prison et 45 000 euros d'amende.