34 militants de Greenpeace comparaissent ce mardi devant le tribunal de Valence pour avoir mené une action symbolique de démantèlement de la centrale nucléaire du Tricastin en février 2020.
L'action visait à montrer la vulnérabilité de la centrale qui vient de fêter ses 40 ans de fonctionnement, la durée de vie initialement prévue par ses promoteurs.
Selon Greenpeace, "A la centrale du Tricastin, les problèmes se multiplient : la cuve d’un des réacteurs compte plus de 20 fissures, la centrale est sensible aux séismes, aux inondations mais aussi aux sécheresses, elle est aussi menacée en cas de rupture du canal de Donzère-Mondragon en amont du Rhône…"