En août dernier, à Saint-Laurent-de-Mure, un homme de 95 ans était décédé après que le matelas de son lit médicalisé ait soudainement pris feu. Il vivait chez sa fille depuis deux ans.
La victime était décédée, asphyxiée par les fumées toxiques. C'est sa fille et son gendre qui l'avaient trouvé.
Selon Le Progrès, l'enquête diligentée par les forces de police, a permis de découvrir qu'un "accélérateur" de feu avait renforcé l'incendie.
Un proche de la famille a, finalement, avoué en garde-à-vue avoir mis le feu "pour abréger les souffrances" de cette personne âgée, mais la police cherche toujours un mobile, estimant celui-ci peu convaincant.
L'homme, qui avait profité de l'absence de la fille et de son conjoint pour commettre son acte, a été mis en examen pour assassinat et placé sous contrôle judiciaire. La chambre de l'instruction a refusé sa mise en détention provisoire.