Le tribunal de Vienne a rejeté ce jeudi 31 juillet la demande de réparation de la famille Grataloup contre Bayer-Monsanto.
Elle accusait le glyphosate d’avoir provoqué les malformations congénitales de leur fils Théo, 18 ans.
La justice a jugé irrecevables leurs demandes, estimant que le lien entre l’exposition présumée au produit et le handicap n'était pas démontré.
La famille annonce faire appel. Bayer, de son côté, exprime sa « compassion » tout en saluant une décision qui écarte sa responsabilité.
C.P