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L’OL en colère contre l’arbitrage, retour sur les décisions contestées

Les dirigeants lyonnais n’ont pas mâché leurs mots après la défaite de l’OL face au PSG (2-3). Matthieu Louis-Jean a parlé de "catastrophe" et d’"incompréhension totale" face aux décisions de M. Bastien. Pourtant, après avoir revu les images, le constat est plus nuancé.

Sur les trois situations les plus commentées, une seule paraît réellement discutable : la faute non sifflée de Vitinha sur Tanner Tessmann juste avant le but du 2-1 en faveur du PSG. Même si le Lyonnais joue mal le coup, cela ne doit rien changer à l’interprétation de l’action : le Parisien touche clairement le genou de l’Américain, et ce genre de contact est sifflé neuf fois sur dix. Il y avait donc clairement faute.

Sur la main supposée de Zabarnyi, en revanche, les ralentis ne montrent rien de vraiment net. Oui, le défenseur saute bras levé, mais on ne décèle pas à l’image de contact évident avec le ballon. Enfin, sur le penalty réclamé par les Lyonnais après le contact sur Tagliafico, la décision de ne pas siffler semble justifiée : l’Argentin touche d’abord le ballon, qui part heurter le poteau avant que le défenseur parisien ne le percute dans la continuité. Dans l’esprit du jeu, ce n’est pas une faute.

Ce match s’inscrit dans une accumulation de décisions défavorables à l’OL

Mais si les Lyonnais ont réagi aussi fort, c’est parce que ce match s’inscrit dans une accumulation de décisions défavorables à l’OL. Au Paris FC, l’OL menait 3-0 avant de se faire rejoindre à 3 partout, avec un rouge très sévère pour Abner, clairement influencé par le contexte du score. D’autant plus que le Parisien Chergui aurait dû être expulsé pour un second carton jaune évident en première période, que l’arbitre n’a pas osé lui donner sous prétexte qu’il venait d’être averti. Pourtant, le second jaune était indiscutable, donc rouge. Là encore, comme à Rennes, l’OL aurait dû jouer à 11 contre 10, et dans les deux cas, c’est finalement l’inverse qui s’est produit : Lyon a fini à 10 contre 11.

À Rennes justement, l'énorme semelle de Rouault sur Merah aurait dû valoir une expulsion directe, alors que Lyon menait 1-0. Et l’expulsion de Morton, pour une faute certes grossière d’anti-jeu à 90 mètres du but, reste sévère. Le milieu lyonnais ne blesse pas son adversaire, qui ne tombe même pas sur l’action. Dans ce genre de situation, les arbitres sortent habituellement un jaune ferme pour marquer leur autorité, mais rarement un rouge direct. L’OL menait 1-0 avant cette expulsion et a fini par s’incliner 3-1.

Une incohérente persistante

Et comme si cela ne suffisait pas, l’OL a perdu son meilleur joueur, Malick Fofana, pour trois mois, sur une faute du Strasbourgeois Doukouré. Il aura fallu plus de cinq minutes de VAR pour que l’expulsion tombe, alors que le geste, un tacle par derrière, ne souffrait d’aucune contestation. Ce qui interroge aussi la répétition : c’était déjà la troisième ou quatrième fois de la saison que Fofana était fauché en pleine course. Si les précédents fautifs avaient été expulsés, Doukouré aurait-il commis la même faute ?

Depuis le début de la saison, le sentiment lyonnais est celui d’une incohérence persistante : certaines fautes anodines sont lourdement sanctionnées, d’autres beaucoup plus dangereuses passent inaperçues. Ce n’est pas tant une question d’arbitrage "contre Lyon" que d’un manque global de cohérence.

Hier soir, paradoxalement, l’arbitrage n’a pas été le pire de la saison. Mais il illustre un malaise plus large, que beaucoup de clubs partagent : celui d’un championnat où la lecture des fautes change d’un week-end à l’autre, d’un arbitre à l’autre, sans que personne ne comprenne vraiment pourquoi.

Julien Huët

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