Silence, on joue.
Dimanche soir, l’OL menait 1-0 à Rennes quand Anthony Rouault a violemment taclé Khalis Merah, semelle en avant, dès la 17e minute. Pas de carton rouge de la part de Ruddy Buquet. Lundi soir, la Direction de l’arbitrage a reconnu l’erreur : le défenseur rennais aurait dû être exclu, et l’assistance vidéo de Stéphanie Frappart aurait dû intervenir.
Et alors ? Deux jours plus tard, ça change quoi ? L’OL ne digère pas, et à juste titre. Car en supériorité numérique pendant 70 minutes, la physionomie du match aurait été toute autre. Mais voilà : la décision tombe après coup, dans un communiqué technique, sans excuses, sans conséquences visibles.
Car oui, Stéphanie Frappart sera sans doute sanctionnée en interne, mais personne ne le saura. Pas de commission publique, pas de suspension annoncée, pas de transparence. Quand un joueur prend un rouge, tout est clair. Quand un arbitre se trompe malgré la VAR, tout reste secret.
Reconnaître l’erreur, c’est une (bonne) chose. En assumer les conséquences au grand jour, c’en serait une autre.
Dites-moi que c'est un montage IA. Je ne peux pas croire qu'elle ait dit ça 😭 ...
— 𝗠𝗜𝗖𝗞𝗔 (@UnGoneExpa) September 15, 2025
Loin des terrains et des camions VAR, c'est trop grave ce que je viens d'entendre. https://t.co/JMidtuYt3s