La réforme de la loi Paris-Lyon-Marseille, qui vise à rétablir un suffrage direct pour les élections municipales, refait surface avec une échéance fixée à 2026. Bien que des élus lyonnais soutiennent le projet, des questions logistiques, notamment à Lyon où plusieurs scrutins se chevaucheraient, compliquent sa mise en œuvre. Si la réforme devait être adoptée, un report du scrutin métropolitain est envisagé pour éviter un chaos électoral.
EP