Le gouvernement a prononcé la dissolution du Bastion Social ce mercredi en Conseil des ministres. Le mouvement d'ultra-droite, créé en 2017 à Lyon, était accusé d'appeler à la haine, aux discriminations et aux actions violentes.
Dans un communiqué, le ministère de l’Intérieur précise que la décision a été prise "pour mettre fin aux exactions répétées commises" en marge de rassemblements de voie publique.
La Ville de Lyon s'est également félicitée de cette annonce, indiquant qu'elle "continuera d’être particulièrement vigilante et attentive, elle combattra toujours les idées portées par l’extrême droite, s’opposera à toutes actions de haine et à l’implantation de groupes identitaires afin que Lyon reste un lieu de rencontre et de vivre ensemble."