La procureure de la République n’a requis aucune condamnation ce mercredi, lors du troisième jour du procès du cardinal Barbarin et de cinq anciens membres du diocèse de Lyon. Les plaignants, victimes présumées du père Preynat, avaient lancé une procédure de citation directe pour « non-dénonciation d’agressions sexuelles sur mineurs commises par un prêtre ».
Sa décision suit les conclusions de 2016, lorsque les plaintes des victimes avaient été classées sans suite, car "aucun nouvel élément n’a été apporté au dossier" depuis.