Il y a une semaine, au tribunal de Tarare, un homme comparaissait pour violences conjugales et agression sexuelle sur sa compagne. La victime était présente à l'audience et a affirmé que la plainte déposée en janvier, où elle déclarait que son compagnon l'avait frappée puis s'était masturbé sur elle, était fausse. Malgré cela, la justice a tranché et l'accusé a été reconnu coupable. Il a été condamné à six mois d'emprisonnement avec cinq ans de sursis et à une interdiction d'approcher la victime ou de rentrer en contact avec elle pendant deux ans.
K.M