La Métropole de Lyon vient d’être élue « Capitale française de la Biodiversité 2019 » lors de la 9e édition du concours organisé par l’Agence française pour la biodiversité. Une distinction qui récompense le travail mené par la collectivité depuis plusieurs années pour lutter contre le réchauffement climatique.
A horizon 2030, 300 000 arbres supplémentaires devraient permettre de faire passer la part du territoire ombragé de 27% à 30%. La Métropole travaille donc aussi à la désimperméabilisation des espaces urbains et au stockage de l’eau de pluie dans les espaces verts.
Selon l'Agence française pour la biodiversité " la collectivité et ses partenaires restaurent et renaturent des cours d’eau et leurs berges, par exemple sur les bords de Saône. En retrouvant des berges naturelles, des mares ou des zones humides, la Métropole de Lyon offre des espaces accueillants pour la faune et la flore et appréciés des habitants, tout en recréant des milieux qui sont de véritables « éponges » lors des pluies intenses ou des crues. Enfin, la Métropole de Lyon gère de manière écologique exemplaire de grands parcs, qui sont des poumons verts et des réservoirs de biodiversité. Ils forment autant d’îlots de fraicheur en cas de canicule."
La Métropole de Lyon est la première intercommunalité à décrocher le titre de « Capitale française de la Biodiversité ». Elle succède à Besançon.