Alors qu'il avait assigné la Ville de Lyon et la préfecture du Rhône en justice pour non-respect de la tranquillité et de la sécurité publique, le collectif d'associations « Lyon en colère », qui regroupe des centaines d’habitants de Lyon, de sa presqu'île et des alentours, a été débouté mercredi par le tribunal administratif.
Selon le tribunal, « aucune faute de nature à engager la responsabilité de la commune de Lyon ni de l’État n’est caractérisée » et la requête des habitants a donc été rejetée.
Le collectif pointait du doigt les nuisances nocturnes, notamment les rodéos urbains, et réclamait à la justice de pousser la municipalité et l'État à prendre des mesures afin d'éradiquer ces problèmes qui concerne la presqu'île.