Suite à un article paru lundi sur le cite Médiacités, qui indique qu'il a été condamné pour des violences intrafamiliales en novembre 2020 et fait l’objet d’une autre procédure pour « mauvais traitements » et « violences sur mineur », le maire LR de Rillieux-la-Pape, Alexandre Vincendet, a tenu à se défendre mardi par le biais d'un long message publié sur ses réseaux sociaux.
« Suite aux allégations mensongères de Médiacités, je suis dans l’obligation d’apporter publiquement les précisions suivantes alors que je ne souhaitais pas en arriver là, explique l'édile. Alors que notre mariage ne fonctionnait déjà plus et suites aux allégations de mon épouse auprès d’un tiers mal intentionné, j’ai alors accepté en juillet 2020 de suivre un stage de parentalité dans l’espoir de sauver mon couple et de préserver ma cellule familiale, alors que j’aurai pu, et que j’aurai dû, contester ces allégations infondées » confesse-t-il.
Face aux accusations, le maire porte plainte
Mais le maire de cette commune de la banlieue lyonnaise réfute toute idée selon laquelle il aurait porté des coups envers sa femme ou son fils de 4 ans : « Je souhaitais garder à cette procédure un caractère strictement privé. Ma seule priorité est de préserver mon petit garçon de cette épreuve. Déjà perturbée par les menaces de mort proférées par des voyous contre mon fils et moi, ma famille vit des moments de fortes tensions. Certaines personnes, qui ont perdu tout sens de l’humain et pour qui tout semble bon pour attaquer un adversaire, ont décidé de répandre de sordides rumeurs. Leur comportement les discrédite et les déshonore », affirme Alexandre Vincendet.
Face à ces « colporteurs de rumeurs » et « charognards du ragot », le maire de Rillieux a décidé de saisir la justice. « J’ai demandé à mon avocat de déposer plainte contre ce média pour diffusion de fausses informations, diffamation et atteinte à la vie privée. Je n’ai qu’une seule pensée, qu’une seule obsession, préserver de tout ça mon petit garçon. L’amour de ma vie ».